Description
Voici une's rie anthologique proposant de la vraie litt rature, crite par des auteurs fameux (Apollinaire, Gautier, La Fontaine, Lamartine, Maupassant...) ou plus obscurs. Amoureux ou gourmands, ils d laissent leurs mots et inclinations d'intellectuels pour user du vocabulaire du simple quidam, et exprimer des pr occupations plus universelles.
Encore une fois, Anny MARTINE-B. nous emm ne de d couvertes en surprises, nous d voile la face m connue d'auteurs c l bres, nous pr sente des po tes dont nous ignorions jusqu' l'existence.
Volume 1: Apollinaire, Ba f, Baudelaire, Beaulieu, Belleau, B ranger, Blanchemain, Bochetel, Bouvret, Cadet Angoulevent, Camuset, Cantel, Caux De Cappeval et Chapuys]
Avec sa mise en page soign e, ses biographies et anecdotes, son ornementation foisonnante (noir/blanc), ce floril ge est r jouissant souhait.
LE MOT DE L'AUTEUR:
Des plaisirs sans tabous, de la gaiet sans pudibonderie, de l'audace, de la malice, des mois exacerb's, une verve joyeuse et naturelle sous la plume virtuose d'auteurs fr tillants. Et la patte d'artistes inventifs pour des illustrations suggestives et radieuses.
IL NE FAUT CHERCHER DANS CET OUVRAGE NI UNE DITION CRITIQUE NI UNE TUDE ANALYTIQUE, MAIS UN SIMPLE PR TEXTE D LECTATION.
Sur MON SITE (www.anny-martine-b.net), un PDF donne une vision significative de ce volume. Ci-apr's, on en trouve un aper u sobre, et plus bas, dans la "Description de l' diteur", quelques rares extraits tout public (feuilletage: les pages lisibles ne sont pas g r es par les auteurs). Bonne d gustation
APER U DU VOLUME 1:
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Quand l'essaim des baisers br lants,
Sur tes seins, coteaux ronds et blancs,
Mouille et mord tes boutons tremblants.
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Tu trouveras au bout de deux beaux seins bien lourds,
Deux larges m dailles de bronze,
Et sous un ventre uni, doux comme du velours,
Bistr comme la peau d'un bonze,
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Mais on peut bien perdre un oeil ou les deux,
La jambe, un bras, le nez ou les cheveux,
Que pour autant monsieur Cul, derri re,
N'en mourra point, n'en fera pire ch re.
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Je p me Mon ami mon ami, je suis morte
H ne me baisez plus, au moins de cette sorte.
C'est ta bouche, mon coeur, qui m'avance la mort.
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D grafe ce collet, m'amour, que je manie
De ton sein blanchissant le petit mont besson:
Puis me baise et me presse, et me tiens de fa on
Que le plaisir commun nous enivre, ma vie.
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...]
Dessus son large Sein les oeillets et les roses,
Un T tin ferme et rond, en Fraise aboutissant,
Un Cr pe d'or fris sur un Teint blanchissant,
Un petit Mont feutr de Mousse d licate,
Trac sur le milieu d'un Filet d' carlate,
Sous un Ventre arrondi, grasset et potel ,
...]
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Petit Connin plus que l vrier hardi,
Plus que le lion au combat courageux,
...]
...]
Mais au vaurien ne vient-il pas en t te
De p n trer le fond de sa vertu
Sein ferme et blanc ne saurait lui suffire,
D j deux doigts sont en besogne ailleurs.
...]
...]
Qu'il faut, pour ne faire qu'une me,
Qu'ensemble l'on parte et se p me
- Ah dit Lison, quel feu vient me trahir
Un mot de plus, monsieur, je vais jouir.
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...]
Je ne sais quoi si doux, si tendre,
Si d licat et si mignon
Que je n'ose en dire le nom.
Il saisit le bord frais et rose,
Le limbe, la l vre, la chose
Ouverte en cr te de foss
Sous un petit buisson fris ;
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Lorsque dedans un lit je tiens entre mes bras,
Et couche dessus moi Janneton toute nue,
Que je t te plaisir ou sa fesse charnue
...]
Tes fesses ont l'odeur du lys, et la pudeur
De la rose au matin, blanc jeune homme, et ma verge
...]
